reflet dans l'ombre
Si il y a une tribut qui ne put choisir son destin ce fut bien le peuple
de la prairie. Dés le 1er instant où les humains franchirent la grande
porte, ils s'abattirent sur le peuple le plus pacifique et le plus
vulnérable. Pourtant toutes les tributs les admiraient pour leur
sagesse et leur générosité, et pourtant. Nul ne pu y réchapper tous
assassinés poursuivi et exécutés. seul le clan des sabots-de-sang se
souleva contre le génocide.
Depuis la nuit sans fin et le grand
commencement du monde de Kalimdor, ils étaient les garants de
l'équilibre entre la mort et la vie. digne représentant de la
continuité.
Là ou les Orc querelleurs et les Trolls belliqueux de la
région n'avaient su les amener, les hordes humaines et leurs alliés les
amenaient à ce qu'il s'étaient refusé depuis mainte génération, la
guerre.
Mon histoire commence dans le camp retranché de Narache.
Tout jeune les anciens nous initiaient aux techniques du clan. Vestige
de l'ancienne guerre du monde du milieu, les esprits et les éléments
nous avaient prévenue. Seul le souvenir et le travail devait nous
sauver. Mais jusqu'alors nous ne savions pas pourquoi ! Alors nous
apprenions depuis des centaine de saison à nous défendre et à nous
soigner.
soigneur, source de vie et guérisseur des maladies et
poisons, mon destin devait être au chevet du malade. Mais l'invasion
humaine en décida autrement. Un matin brumeux en Mulgore, cacha la
riposte que les alliés tendirent aux clan ami des Orc. Car allié des
Orc nous sommes et même si souvent nous ne les soutenions pas dans leur
quête de grandeur, nous le sommes toujours resté.
Mais ce matin là, alors que je me rendais au village, je tombais dans le piège et
l'illusion. Un humain devint le maitre de ma conscience et de mon
corps. De cette période je n'ai aucun souvenir. L'horreur de mon destin
se traduit à mon réveil. Le charme avait été rompu par je ne sais qui
ou quoi. J'étais dans un hôpital de campagne soignant humain, nain,
gnome et elfe. Ils venaient de détruit mon village.
Prit par le dégout du spectacle je m'enfuis du campement. En arrivant aux
fumeroles du camp Narache j'aperçus le patriarche. Il était dans un
bain de sang. Vidé de toute énergie par ma captivité je ne pu sauvé mon
mentor le grand prêtre chaman, le père des père, notre maitre à tous.
Il mourut dans mes bras.
Le ricanement d'un nain me fit dressé la
crinière, d'un coups de sabot je le mi KO. Puis profitant de l'occasion
je lui arracha son épée et lui coupa la tête.
Quand je déposa la tête du nain sur le corps du maitre, leurs sangs se mêlèrent faisant reverdir les herbes aux alentours. Mais ceci sonna la fin de l'éducation que me donna mon père, le grand maitre chaman.
puis je couru, couru, couru à travers la grande prairie jusqu'aux trois pic du nord que l'on appelle Thunderbluff.
Mer 3 Oct - 8:44
